Les œuvres de Pouchkine sont faciles à lire dans l'original, mais avant la leçon, il est important d'avoir le temps de répéter le matériel à temps et de vous rappeler tous les principaux événements du poème. Il propose une brève relecture des chapitres du Literaguru: vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin. Et pour bien comprendre l'intention de l'auteur, n'oubliez pas de lire analyse du travail.
Introduction
Le poème commence avec Peter debout sur les rives de la Neva et réfléchissant sur l'avenir de la ville, qu'il a commencé à construire. Et maintenant, après cent ans, la ville a grandi, est devenue majestueuse et belle (la voici forme).
Pouchkine loue la ville où la Neva est majestueusement étirée, où la belle architecture est incroyable, où la vie sociale luxueuse bat son plein.
Partie un
Ensuite, l'histoire va au petit officiel Eugene (voici son caractéristique) vivant dans la région de Saint-Pétersbourg - Kolomna. Eugène d'une famille noble, qui a cependant perdu sa grandeur. Le héros lui-même ne pense qu'à sa bien-aimée Parash, à cause de la montée de l'eau dans la rivière, les ponts qui la traversent ont été supprimés, maintenant il ne pourra plus voir sa bien-aimée dans quelques jours. Les pensées d'un avenir heureux et calme avec la mariée et les enfants apaisent les pensées d'Eugène et il s'endort.
La terrible nouvelle arrive le matin: Neva a débordé et inondé la ville. Les habitants sont terrifiés, ils voient dans cette «punition de Dieu».
À l'épicentre des éléments déchaînés se trouvait notre héros. Assis à califourchon sur la figure de marbre d'un lion sous le porche de l'une des maisons, il regarde au loin, espérant voir la maison de sa bien-aimée Parasha, des pensées sombres emplissant son esprit. Ici devant l'œil d'Eugène apparaît la figure de Pierre lui-même sur un cheval de bronze.
Deuxième partie
Mais bientôt les éléments se sont calmés et la rivière a repris son cours habituel. Eugene est pressé d'attraper un batelier et de passer de l'autre côté afin de voir rapidement son bien-aimé. Mais il n'y avait nulle part où se dépêcher, il n'y avait ni maison, ni portail, ni amant elle-même. Eugène ne peut pas supporter une telle perte et devient fou.
Et maintenant que toute la ville est déjà revenue à son état antérieur, il n'y a même plus de trace des destructions causées par les éléments. Seul Eugène ne trouve pas de place, affligé de chagrin, il se met à l'errance. Alors un an passe, le clochard vit dans la rue et mange l'aumône des passants. Et sur le chemin du héros, la figure déjà familière d'un lion apparaît, et un peu au loin, Eugène voit un cavalier sur un cheval de bronze (sa caractéristique ici) Des images effrayantes de la tragédie de l'an dernier me reviennent en mémoire. Il vient au monument et menace de colère une statue de cuivre pour tous les ennuis causés, mais il lui semble alors que Pierre lui-même a baissé les yeux vers lui et que le héros s'enfuit de peur, poussé par le piétinement imaginaire des sabots de cuivre. Depuis lors, Eugène, passant à chaque fois devant un monument en cuivre, s'est incliné devant une personne vivante et a demandé pardon.
L'histoire se termine lorsque Eugene est mort, amené par les eaux de la rivière, avec une petite maison délabrée sur l'île sans nom, où il a été enterré.